Comment intégrer le vin dans son alimentation sans impacter sa santé ?
Bien se nourrir est la clé pour avoir une excellente forme et une bonne santé. Une mauvaise alimentation peut rapidement avoir des répercussions sur le fonctionnement de plusieurs organes de notre corps. Pour donc vous apporter plus de lumière sur les bonnes façons de vous alimenter, nous vous montrons comment vous pouvez intégrer le vin dans votre alimentation sans que cela n’ait d’impact sur votre santé.
Sommaire
Règles de base des accords mets et vins.
L’accord repose sur une harmonie délicate et un certain équilibre doit être respecté. Pour être mieux pragmatique, le vin ou les plats ne doivent en aucun cas dominer sur l’autre. L’intensité des plats ou des aliments doit donc aller de pair avec celle du vin. L’union mets et vins est une question de goût. Cependant, il existe des erreurs qu’il ne faut jamais commettre comme prendre chaque jour un excès de vin. Le vin et la santé ne sont pas trop compatibles, puisqu’un excès de vin nuit à la santé.
Choisissez vos vins en fonction des saveurs qui façonnent votre goût.
Certains aliments ont un goût si fort qu’il peut parfois être difficile de trouver la bonne boisson pour aller avec cet aliment. L’acidité d’un aliment peut perturber l’harmonie des vins. Pour plus de précautions, vous pouvez consommer les aliments acides en combinaison avec des vins rosés, blancs, pâles, jeunes. Par ailleurs, vous trouverez différent type de vin sur https://www.viniphile.fr/
Par ailleurs, l’amertume peut assécher le vin et le rendre dur. Pour les repas contenant une amertume, vous pouvez opter pour des vins blancs moelleux. Cela sublimera les légumes (artichauts, épinards, radicchio, etc.) aux saveurs distinctes.
Pour vos repas salés, choisissez les vins rouge et blanc, mais particulièrement les vins jeunes, car ils ont une fraîcheur et une acidité qui permettront d’équilibrer l’ensemble.
Pour les aliments ayant un goût sucré, combinez les avec des vins fruités, et même des vins fortifiés.
Ne buvez pas l’estomac vide !
Vous avez sans doute déjà entendu cette phrase plusieurs fois avant de sortir pour un grand soir, que ce soit de la part de votre docteur ou d’un ami très proche. En effet, le fait d’avoir un estomac bien rempli d’aliments, permet à l’alcool de rester plus longtemps dans votre l’organisme, ce qui ralentit son absorption dans votre circulation sanguine et vous empêche de vous enivrer plus tôt.
Comme évoqué plus haut, lorsque vous souhaitez mélanger vin et aliments, pensez à bien les équilibrer pour qu’aucun ne domine l’autre.
À jeun, le taux d’alcoolémie culmine environ une heure après une consommation de l’alcool, puis diminue à un rythme linéaire pendant environ quatre heures par la suite. Pensez donc à bien vous nourrir avant de consommer du vin.
Boire avec de la nourriture dans l’estomac peut également réduire la charge sur le foie.
Lorsque l’alcool est stocké dans le ventre, l’alcool-déshydrogénase (ADH), une enzyme présente dans la muqueuse de l’estomac et le foie, peut alors le métaboliser. Mais sans nourriture pour conserver l’alcool, il passe plus vite dans l’intestin, ce qui pèse sur l’ADH dans le foie.
Sur le long terme, le surmenage du foie peut provoquer des dégâts plus sévères, tels que la cirrhose. Que le vin soit consommé avec des aliments ou à jeun affecte également la manière dont les calories sont conservées dans l’organisme.